M. DEVAUX DE PLEYNE ALEJANDRO DIONISIO La somme de douze cens francs La cantidad de 1,200 francos es est déjà bien modique pour fai- ya bastante módica para hacer re face aux frais que demande frente a los gastos que exige l'entretien de trois frères el mantenimiento de tres Herma- dans une commune. La reduire nos en un municipio. Reducirla encore, c'est, ce me semble, más es, me parece, arrancarles, leur arracher, je ne dis pas, no digo el triste salario del le triste salaire du plus in- más ingrato y penoso empleo de grat et du plus pénible emploi un ciudadano, sino hasta su d'un citoyen, mais même leur pobre y desagradable alimento. pau(v)re et dégoutante nourri- Todos los municipios en los que ture. Toutes les communes où tenemos tres Hermanos pagan nous avons trois frères payent 1,200 francos. Así Boulieu, douze cens francs. Ainsi Bou- Empuis, Neuville-L'Archeveque, lieu, Empuys, Neuville-l'Arche- Charlieu, Mornant, St.-Paul-en vêque, Charlieu, Mornant, St. Jarret, pagan dicha suma. Paul-en-Jarret, payent la dite somme. Nous pouvons, pour vous obli- Podemos, para contentarle, po- ger, mettre l'établissement de ner el establecimiento de su votre commune sur le pied de municipio en pie de igualdad celui de St. Sauveur, à mille con el de St-Sauveur a mil francs trois frères l'hiver et francos por tres Hermanos en deux l'été. Seulement vous sa- invierno y dos Hermanos en ve- vez que les Frères des Ecoles rano. Usted sabe bien que los Chrétiennes sont payés sur le Hermanos de las Escuelas Cris- pied de six cens francs par tianas reciben seiscientos tête. Il y a cependant chez francos por cabeza. Hay sin em- eux, comme chez nous, un homme bargo entre ellos, como entre qui fait seulement la cuisine. nosotros, un hombre que hace Nous avons cependant reduit à únicamente la cocina. Hemos no deux tiers ce que personne ne obstante reducido a dos tercios leur dispute. Les respectables lo que nadie les discute. Los F(rères) des Ecoles Chrétiennes respetables Hermanos de las Es- exigent, outre un locale compé- cuelas Cristianas exigen, ade- tant, pour la première année más de un local adecuado, por seize cens francs pour la mai- el primer año 1,600 francos pa- son mère, trois mille francs ra la casa madre, 3,000 para el pour le mobilier qui leur ap- mobiliario, que les pertenece partient dans trois ans, dix- al cabo de tres años, dieciocho huit annuellement, somme recon- anualmente, suma reconocida sin nue sans doute absolument né- duda absolutamente necesaria, cessaire, tandis que nous ne mientra que nosotros no pedimos demandons que, à part le loge- más que, aparte del alojamien- ment, douze cens francs annuel- to, 1,200 francos anuales y lement et quinze cens pour un 1,500 francos por un pequeño petit mobilier, somme que Bourg mobiliario, suma que Bourg-Ar- Argental n'a jamais donnée. gental jamás ha dado. Je laisse à votre sagesse et à Dejo a su buen criterio y a su votre bon coeur de juger s'il buen corazón el juzgar si no n'y auroit pas de la dureté à sería duro reducir esa canti- reduire cette somme. Je ferai dad. Daré a conocer su carta al part de votre lettre à Mr. le señor Prefecto, que me ha pro- Préfet qui m'a promis de s'in- metido interesarse por los mu- teresser en faveur des communes nicipios pobres. pauvres. Recevez l'assurance de la con- Reciba la reguridad de la con- sidération distinguée avec la- sideración más distinguida, con quelle j'ai l'honneur d'être, la cual tengo el honor de ser, Monsieur le Maire... señor alcalde...
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